« Beaucoup de traditionalistes et de résistants à la Révolution Conciliaire, ayant été sidérés par l’effondrement de l’Église, à Vatican II, et aussi par la Subversion du Clergé (du Sommet à la base), après le Concile, avaient estimé qu’une telle catastrophe, unique dans les annales de l’Église, n’avait pu se produire sans un long travail de démolition intérieure. Les subversions modernistes et progressistes, bien que finement analysées par de grands spécialistes, n’expliquaient pas tout. Quelques anti-libéraux du début du XX° siècle avaient tiré la sonnette d’alarme, comme Mgr Jouin[1] et l’abbé Barbier[1]…
Il faudra attendre 1926, treize ans après le décès du félon Rampolla, pour avoir une indication supplémentaire, et non des moindres, sur le minage en cours. Le publiciste Félix Lacointa, directeur du « Bloc Anti-Révolutionnaire », à Toulouse, publiait un tiré-à-part de son article sur le « Frère Rampolla », article référencé et lourd de révélations.
C’est à la fin de la Deuxième Étape du Plan Luciférien Pike-Mazzini, c’est-à-dire la Deuxième Guerre Mondiale, qu’un homme en apprit davantage sur le Réseau d’Infiltrés dans l’Église.
Grâce au témoignage capital d’un officier-interprète d’italien – Marc Winckler – la tactique de l’Ennemi fut dévoilée. Il faudra patienter toutefois un peu plus d’une trentaine d’années (1945 – 1979) pour que ce témoignage essentiel soit publié dans une revue, tandis que le Progressisme triomphait sur toute la ligne. »
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