Judaïsme - Franc-Maçonnerie

LA PRÉPONDÉRANCE JUIVE. - I Ses origines - II Napoléon Ier et les Israélites.

Tome I :

« Platon, dans un de ses admirables dialogues (le Théétète), parle des sophistes. Le grand moraliste laissait percer une ironie profonde et un sens sérieux ; de même, à la veille de la Révolution, quand nous voulons opposer la doctrine catholique au talmudisme qui est une sophistique : Celle-là, dit-il, tend vers l’être ; celle-ci va au néant. »

« Combien cet arrêt de la sagesse antique se trouvait justifié au XVIIIe siècle par les doctrines subversives des malfaiteurs intellectuels ! On a dit d’eux, en les rattachant à ceux du temps de Platon : « Race de sophistes ! qui cherche l’erreur avec passion, pour qui les ténèbres sont une découverte et une félicité. Socrate fut leur première victime, Jésus-Christ fut la seconde (p.14.) »

« Le sophiste, dont le style enchanteur distillait avec perfidie les pavots de la tolérance, la vapeur enivrante, des idées libérales et le venin du déisme est le fils du Démon (p. 49) »

« La révolution voulut faire entrer les israélites dans la société française ; elle voulut leur participation à la vie civile; mais dans quelle mesure ?

« Dans une certaine mesure, au moins pour les commencements », aurait répondu le gouvernement de Louis XVI, s’il eût été libre.

« Sans mesure ! » a répondu la Révolution. Malgré l’indignation populaire (p.209.) :

« L’admission de cette espèce d’hommes, dit la requête des marchands, ne peut être que très dangereuse ; on peut les comparer à des guêpes qui ne s’introduisent dans les ruches que pour tuer les abeilles, leur ouvrir le ventre et en tirer le miel qui est dans leurs entrailles ; tels sont les juifs, auxquels il est impossible de supposer les qualités de citoyens (p. 222.). »

Tome II :

« Napoléon voulut faire des Juifs des citoyens comme les autres; l’histoire lui répondit par la catastrophe qui nous frappe aujourd’hui : « Aucune transformation, aucun rapprochement. La cause entravant l’œuvre grandiose et généreuse de Napoléon est-elle dans la loi de Moïse, différente, en certains points, de la loi des chrétiens ? Non c’est la haie à la Loi — l’expression est due aux rabbins eux-mêmes — qui s’y oppose. Les pauvres juifs ont été littéralement clôturés, emprisonnés par cette haie, la haie des lois talmudiques.

« De leur autorité privée, les rabbins ont ajouté et surajouté à la Loi de Moïse.

« Ah ! certes, le Talmud n’est pas un rempart d’aubépine en fleurs, mais bien plutôt une haie hérissée, impénétrable, favorable aux serpents, aux vols, aux rapines. Les fils d’Israël vivent dans ces broussailles en haine du Christianisme. Le Talmud est un pêle-mêle de choses encombrantes, et de ridicules et interminables subtilités. L’Esprit de Dieu est absent des amas d’additions qui sont devenus des fatras inextricables des rabbins. Resté tel malgré le décret libérateur et fraternel de Napoléon Ier.

« Napoléon voulut, en effet, réunir le premier Sanhédrin en 1807 (le premier qui se tenait depuis la destruction de Jérusalem en 70)…Les protestations les plus vives, venant surtout de l’Alsace, furent déposées aux pieds de l’empereur contre les usuriers Juifs :

« Hideuse mais symbolique maladie, la lèpre, transportée dans le domaine moral, suffirait à prouver que les juifs ont commis, au cours de leur histoire, une grande faute que le Ciel ne leur a pas encore pardonnée. Symbolique maladie, disons-nous :

« — la doctrine chrétienne parle bien d’une lèpre morale : c’est le péché et les mauvaises mœurs : la lèpre du péché, la lèpre de l’inconduite ! Oui, vraiment, Frères israélites ! ceux qui vivent dans l’inconduite, à quelque religion qu’ils appartiennent, sont comme des lépreux.

Judas, tu as vendu le Christ pour trente deniers : à cause de toi, tes malheureux frères sont devenus les usuriers, les lépreux du monde ! (pp. 7, 8, 17, sq)

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ISBN : 2-84519-437-4
Nombre de pages : 658 (2 volumes)
Langue : Français
Etat : Neuf

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