

La communauté juive prit peur, comme jamais peut-être dans les temps dits modernes ; car une menace inattendue planait en son propre sein : la conversion des Juifs par des Juifs convertis. Léon de Poncins, dans Le judaïsme et le Vatican, la rend très-manifeste : lors du faux concile (Vatican II), deux Juifs, Isaac (historien pour les écoles laïques) et Béa (cardinal) heurtèrent si bien à la porte du pseudo-pape le F∴ M∴ Roncalli et obtinrent audience, exigeant et obtenant que « l’Eglise cessât tout prosélytisme »