HISTOIRE DU COMMUNISME, DE 1917 A LA SECONDE GUERRE MONDIALE
« Dès le Pacte Germano-soviétique — écrit L. de Poncins — les communistes français, aux ordres de Staline, à de rares exceptions en France, prirent le parti des nazis. Ils s'attendaient donc à la dissolution et aux poursuites (Thorez et Duclos désertèrent pour se réfugier à Moscou). La nouvelle politique de l'U.R.S.S est défendue et glorifiée par le PC ; le pays est couvert de tracts. Les cellules secrètes des usines continuent leurs opérations révolutionnaires, plus que jamais agissantes, “ sur le type légendaire des conjurations et des sociétés secrètes ”, écrit Léon Blum.
« Le Parti communiste, poursuit-il, cherche, non pas à enrôler les masses prolétariennes, qu'il méprise, mais à trier dans leur sein une troupe de choc toujours mobilisée, une sorte d'armée de métier de l'insurrection.
« Sa propagande ouverte reprend de Poncins est au service de plans occultes dont les chefs seuls doivent détenir le secret... Elle n'instruit pas, n'élève pas, elle exalte, surexcite, surchauffe. ”
« Le Front populaire — poursuit de Poncins — avait été l'alliance des partis de gauche (communistes, socialistes, radicaux-socialistes, etc.) sous l'égide des Juifs et des francs-maçons. On le sait par la brochure d’Alain Ribard, l’un des pincipaux agents de liaison entre Francs-Maçons et communistes, alliés à des notabilités juives et maçonniques. Ainsi, La Ligue des Droits de l'homme, organisation d'inspiration notoirement judéo-maçonnique est dirigée par les Juifs Victor Basch et Émile Kahn, H. Barbusse, le professeur Langevin, Albert Bayet, Jean Cassou, J. Kayser, Pierre Cot, Zyromski, J. Salomon, Jean Richard-Bloch, etc. ”