— L’ouvrage que nous présentons demande qu’on ait une idée de l’Europe d’avant et d’après la Grande Guerre, et qu’on se souvienne encore que le trio servile Wilson, Lloyd George et Clémenceau traçait déjà – comme on dit dans leurs loges – les fondations du futur état hébreu (Convention Balfour), la bombe mondiale à venir
— « Les procédés de la stratégie subversive sont en apparence souples et flexibles à l'extrême pour parer efficacement aux éventualités les plus variables. Cependant, en réalité, ces procédés sont toujours identiques à la stratégie subversive elle-même, à tous les degrés de son évolution et sur tous les plans de son action. En effet, le judéo-maçonnisme est animé depuis toujours par une même volonté centrale farouche : celle des Princes de l’Exil, cachés à Constantinople ou à New-York (V. Copin-Albancelli, La conjuration juive contre le monde chrétien, ESR.).
— Une chose aide à la lecture de La Nouvelle Babel, c’est ceci : Malynski garde l’Écriture Sainte à portée de main. L’antique Tour de Babel symbolisa une révolte, un défi contre Dieu, la Nouvelle Babel agencée par la SDN ne fut pas autre chose. Malynski répète ce qu’il a compris des Écritures (pp. 264, sq.) : que « l’intérêt de tous, s’il n’est pas l’intérêt de chacun, n’est pas l’intérêt de tous ». — Or la SDN fut cette utopie funeste (mère de l’ONU) qui interdit à tous et chaque pays européen, à présent dépecé, d’être autosuffisant. Pour la subsistance, chacun devait dépendre de l’Amérique enjuivée oar le puritanisme, et pour les idées en marche, tous devaient accepter celles de l’URSS.
— Que sont ces dépendances ? Malynski répond : « Avec les dissertations savantes que l'on écrit sur le renchérissement constant de la vie moderne, on pourrait remplir des bibliothèques. Mais personne ne s'avise de la chercher dans le chiffre formidable des dettes qui, par l'entremise des États respectifs, pèsent directement ou indirectement sur la société entière (pp. 466/67). »
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