"Ces pages, il les avait écrites en anglais, durant son séjour à Londres, à l'occasion d'une retraite prêchée à ses frères. Il s'en était inspiré pour une autre retraite prêchée aux Dominicains Français du couvent de Rijckholt-Gronsveld, dans le Limbourg hollandais. Mais, pour cette dernière prédication, il n'avait ajouté au texte primitif aucune note en notre langue. Les éditeurs ont donc été obligés de demander à un traducteur expérimenté et dévoué de leur rendre, sinon la phrase si souple et si énergique de l'excellent prédicateur et écrivain dont la mort a causé tant et de si vifs regrets, du moins sa pensée, sa doctrine, ce qu'il désirait, ce qu'il aimait dans l'Ordre de Saint-Dominique."