LA FRANCE JUIVE, édition illustrée TOME 2 SEUL
Grande édition illustrée de 176 gravures. Contient un index des noms et un index des gravures. Tome I : livres I à III - Tome II : livres IV à VI.
"Taine a écrit la Conquête jacobine. Je veux écrire la Conquête juive.
Le seul auquel la Révolution ait profité est le Juif. Tout vient du Juif ; tout revient au Juif.
Il y a là une véritable conquête, une mise à la glèbe de toute une nation par une minorité infime mais cohésive, comparable à la mise à la glèbe des Saxons par les soixante mille Normands de Guillaume le Conquérant.
Les procédés sont différents, le résultat est le même. On retrouve ce qui caractérise la conquête : tout un peuple travaillant pour un autre qui s’approprie, par un vaste système d’exploitation financière, le bénéfice du travail d’autrui. Les immenses fortunes juives, les châteaux, les hôtels juifs ne sont le fruit d’aucun labeur effectif, d’aucune production ; ils sont la prélibation d’une race dominante sur une race asservie.
Il est certain, par exemple, que la famille de Rothschild, qui possède ostensiblement trois milliards rien que pour la branche française, ne les avait pas quand elle est arrivée en France ; elle n’a fait aucune invention, elle n’a découvert aucune mine, elle n’a défriché aucune terre ; elle a donc prélevé ces trois milliards sur les Français sans leur rien donner en échange.
Cette fortune énorme s’accroît par une progression en quelque sorte fatale.
Le Dr Ratzinger l’a dit très justement :
« L’expropriation de la société par le capital mobile s’effectue avec autant de régularité que si c’était là une loi de la nature. Si on ne fait rien pour l’arrêter, dans l’espace de cinquante ans, ou, tout au plus, d’un siècle, toute la société européenne sera livrée, pieds et poings liés, à quelques centaines de banquiers juifs. »
Toutes les fortunes juives se sont constituées de la même façon par une prélévation sur le travail d’autrui.
Si l’ancienne société put vivre tranquille et heureuse sans connaître les guerres sociales, les insurrections, les grèves, ce fut parce qu’elle reposait sur ce principe : « Pas de bénéfice sans travail. » Les nobles devaient combattre pour ceux qui travaillaient ; tout membre d’une corporation était tenu de travailler lui-même, et il lui était interdit d’exploiter, grâce à un capital quelconque, d’autres créatures humaines, de percevoir sur le labeur du compagnon et de l’apprenti aucun gain illicite.
C’est une des prétentions sottes de notre temps que de croire qu’il a inventé l’économie politique. Ceux qui s’occupaient alors de ces questions n’étaient point sans doute, comme aujourd’hui, des membres de l’Institut, Malthusiens hypocrites et lubriques, des orateurs de réunions publiques irrités du spectacle de la misère et préoccupés de s’attirer les applaudissements de la foule en flattant les passions. C’étaient les saints eux-mêmes qui cherchaient à mettre l’harmonie sur la terre ; des rois comme saint Louis, discutant au palais, avec Etienne Boileau, l’organisation du travail ; des moines comme saint Thomas d’Aquin, s’efforçant de définir le caractère du crédit. Ce crédit, saint Thomas d’Aquin le voulait chrétien et non judaïque ; il entendait qu’il fit une aide donnée par un frère à son frère, et non une exploitation, un moyen d’opprimer cruellement ceux qui n’ont rien et de dépouiller ceux qui ont peu et qui veulent avoir davantage sans se donner la peine de le gagner. Volontiers il eût appelé l’argent, dont on fait un usage abusif, du nom que le peuple lui donne aujourd’hui ; il l’eût appelé l’infâme capital." E. Drumont, extraits de l'introduction.