–« Il est dit dans l'Écriture que « l'ennemi n'aura été enchaîné que pour un temps ». Blessé par le talon de la Femme, il attendait son jour. – « Il ne dépendait pourtant que de la puissance chrétienne des premiers temps et du Moyen-âge de donner le coup de grâce au peuple déchu, car il était faible alors, sans défense et à sa merci, mais elle a préféré suivre l’enseignement des Pères – tel saint Augustin – et lui faire grâce, car le peuple déchu avait pour se défendre les promesses formelles de perennité. C'était pour la théologie un précieux témoignage vivant du Christ à travers les âges. De là cette singulière charité de ces siècles où la foi régna.